Les élémenloups [RPG loup]

C'était il y a longtemps, une terre inconnue de tous : la terre des Élémenloups. Ces terres furent crées par le grand dieu Créateur : Dalnar. Des terres prêtent à accueillir la vie lupine. Au commencement n'y vivaient que 4 et unique loups. Ce furent les 4 piliers de la création de ces terres, les 4 fondateurs des clans de l'Air, du Feu, de la Terre et de l'Eau. Le gibier d'ailleurs s'installa peu à peu, par l'influence du dieu Mordor, peuplant ces nouvelles terres fraîchement créées. D'autres loups apparurent à leurs suite peu de temps après afin de peupler un peu plus ce royaume. Tous les loups furent crées par la magie de la déesse mère, Rhéa. Ils se reproduisirent entre eux, jusqu'à former les quatre grandes meutes, toutes les unes aussi respectables que les autres. La paix y vivait sans pour autant se soucier qu'un nuage sombre arrivait.

Un jour, un dieu du nom d'Akui, fils de Dalnar et Rhéa, ne supportant cette paix qui régnait sur ces terres, décida de les différencier en leur offrant L'élément. Chaque meute hérita d'un élément bien spécifique suivant leur nom; la première fut donc "irradié" par le feu, la seconde par l'eau, la troisième par l'air et pour finir, le dernier clan, par la terre. Chaque loup acquit alors un pouvoir en adéquation avec leur élément. Mais, les meutes n'ont sut accepter ces différences : la jalousie et la haine se creusèrent et depuis ce jour, les meutes sont rivales.

Il y eut moult péripéties au fil des années. Dernièrement le Dieu Akui fut incarné de nouveau et face à sa menace les quatre clans durent fusionner. Aujourd'hui, les quatre clans n'existent plus, il y en a deux à présent : le clan du Désert qui est la fusion entre Air et Feu, et le clan de la Source qui est la fusion entre Terre et Eau.

Après bien des combats dont une grande bataille finale, le dieu mauvais Akui a été vaincu et la paix est revenue. Les fusions sont restées en place. Cela semble être une bonne solution pour continuer de vivre. Rester unis en deux grandes meutes paraît bien mieux qu'être divisés en quatre comme autrefois, car qui sait ce qui pourrait arriver d'autre à l'avenir.